Petit chômage

MOTIF DE L’ABSENCE

DURÉE DE L’ABSENCE

Mariage du travailleur.

Deux jours à choisir par le travailleur dans la semaine où se situe l’événement ou dans la semaine suivante.

Mariage d’un enfant du travailleur ou du conjoint (ou du cohabitant légal)(*), d’un frère, d’une sœur, d’un beau-frère, d’une belle-sœur, du père, de la mère, du beau-père, du second mari de la mère, de la belle-mère, de la seconde femme du père, d’un petit-enfant du travailleur.

Le jour du mariage.

 

La naissance d’un enfant du travailleur.

10 jours si l’enfant est né avant le 1er janvier 2021; 15 jours si l’enfant est né(e) à partir du 1er janvier 2021 et avant le 1er janvier 2023; 20 jours si l’enfant est né à partir du 1er janvier 2023.

Décès du/de la conjoint(e) ou du/de la partenaire cohabitant(e), d'un enfant du travailleur ou de son/sa conjoint(e) ou du/de la partenaire cohabitant(e).

Dix jours (3 payés par l'employeur, 7 par la mutuelle).

Décès du père, de la mère, du beau-père, du second mari de la mère, de la belle-mère ou de la seconde femme du père du travailleur.

Trois jours à choisir par l’ouvrier dans la période commençant le jour du décès et finissant le jour des funérailles.

 

Décès d’un frère, d’une sœur, d’un beau-frère, d’une belle-sœur, du grand-père, de la grand-mère, d’un petit enfant, d’un arrière-grand-père, d’une arrière-grand-mère, d’un arrière-petit-enfant, d’un gendre ou d’une bru habitant chez le travailleur.

Deux jours à choisir par l’ouvrier dans la période commençant le jour du décès et finissant le jour des funérailles.

 

 

Décès d’un frère, d’une sœur, d’un beau-frère, d’une belle-sœur, du grand-père, de la grand-mère, d’un petit-enfant, d’un arrière-grand-père, d’une arrière-grand-mère, d’un arrière-petit-enfant, d’un gendre ou d’une bru

n’habitant pas chez le travailleur.

Le jour des funérailles.

 

Communion solennelle d’un enfant du travailleur ou du conjoint (ou du cohabitant légal) (*), ou participation d’un enfant du travailleur, de son conjoint (ou du cohabitant

légal) à la fête de la “jeunesse laïque” là où elle est organisée.

Le jour de la cérémonie. Au cas où la cérémonie tombe un jour normal d'inactivité, un jour est octroyé dans la semaine de la cérémonie ou dans la semaine suivante.